lundi 14 juin 2010, par Laurent
La majorité des cyclos (520 sur 900) présents sur ce BCMF a choisi de le réaliser sur 2 jours soit 92 km le premier jour et 140 le lendemain pour un dénivelé total de 3780 m. Le VCMP était représenté, après quelques désaffections, par moi-même, Frédéric (le petit), Catherine et Jacques pour leur première expédition en montagne.
Températures caniculaires le Samedi sous un soleil de plomb. Pour le dimanche si nous sommes partis sous un ciel bien chargé et quelques gouttes, la seconde moitié du parcours a été réalisée sous le soleil.
La montée sur Prémanon a été rendue pénible par la chaleur, j’ai pris un coup de chaud sur la caboche : je ne pensais plus à pédaler mais à m’allonger dans les sous-bois bien à l’ombre, rêver d’une bonne douche froide ou descendre quelques bières fraiches.
Arrivée sur le plateau.
Là, le bazar ! Personne pour nous diriger sur le bon hébergement, des rumeurs circulaient entre les cyclos : le n° de ton hébergement est sur ta plaque de cadre. Oui effectivement il y a bien le chiffre 1 mais qui était présent sur toutes les plaques de cadre…
Certains ont ajouté quelques kilomètres et du dénivelé avant d’arriver à bon port.
Avec Fred nous nous ne sommes pas perdus même si il y a eu quelques hésitations, ce qui nous a permis de regarder arriver les retardataires de notre balcon , douchés et changés….il n’y a pas de petit plaisir !!!
Avant de squatter la piscine et le jacuzzi du chalet. (Chalet Le Grépillon, http://www.odesia-vacances.com/fileadmin/pdf/grepillon.pdf)
Le lendemain, départ vers la Suisse par la Cure et le col de la Grivine (1232 m).
Retour sur la France par le col de Marchairuz (1447 m). Au début de l’ascension, à découvert nous avons pu voir au loin le Lac Léman et le Mont Blanc. La descente a été prudente sur une route rendue mouillée par des averses qui ont eu la gentillesse de nous oublier. Repas pris à 10 h à Bois d’amont, puis nouvelle difficulté avec le Chalet des Ministres (1232 m). La suite n’était qu’une succession de faux plats de petites bosses (et descentes) avant de plonger sur l’arrivée.
Nous venions d’entamer le chemin du retour sur l’autoroute quand l’orage tant annoncé est arrivé, mais bon, bien au chaud avec les vélos dans la voiture, rien ne pouvait plus nous arriver.
Je crois que le petit Fred est en photo dans le journal local, je le soupçonne d’avoir acheté le photographe
Thierry.