Vélo Club Massy Palaiseau
Activité d'un groupe de vélo
Rendez vous "Sortie groupe" : Parking Recyclerie Sportive de Massy.

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Clermont-Aurillac-Clermont

dimanche 30 juin 2013, par Fred

C’est le 22 et 23 juin que plusieurs membres du club, avec le renfort de quelques amis, ont participé à cette épreuve à étape.....Un week-end épique, raconté par chacun des membres ci dessous !

CLERMONT-AURILLAC-CLERMONT 2013 30ème EDITION Samedi 22 Juin, étape 1 : 175 Km – 2700 D+ Dimanche 23 Juin, étape 2 : 190 Km – 3000 D+

Au cœur du Parc des Volcans d’Auvergne, sept membres du VCMP*, accompagnés d’un ancien du club (Frédéric MONTI) et de deux amis cyclos (Vincent DENIAU du C.O. Les Ulis, Philippe PARVERY de Limoges), ont réalisé une boucle dans un axe Nord/Sud en traversant des paysages à la nature sauvage et secrète. Organisée par le CT Montferrand, cette belle épreuve de deux étapes offre distance et dénivelé. Retrouvez ci-dessous les impressions des participants.

*Philippe DELMAS, Attif KHATTARI, Thierry LABROUSSE, Sylvain OLLIER, Eric PAILLARD, Frédéric PONDEVIE, Philippe REY


Vincent DENIAU (C.O. Les Ulis)

Quelques jours après l’arrivée qu’est-ce qui t’aura le plus marqué ? Le CAC est une randonnée bien organisée avec des ravitaillements plus que corrects. Quant au cadre, l’Auvergne, c’est toujours aussi chouette et casse-pattes… même sous la pluie !

Pendant la course quels furent les moments les plus forts ? Sur la 1ère étape le début de la descente du Pas de Peyrol dans les nuages avec des trouées occasionnelles dévoilant brusquement le vide du bas-côté*. Flippant ! Puis, lors de la 2nde étape, ces longs kilomètres avec vent dans le dos sur ce plateau peu avant Besse (63), au pied de la bosse avant ce village. Pendant quelques secondes je ne savais plus quoi faire pour changer de braquet ! *pour rappel, ce fut dans cette descente qu’Alexandre VINOKOUROV chuta lors du Tour 2011

En dehors de ces deux étapes, que retiens-tu de ce week-end ? La Truffade à la Tome du Cantal ! (dégustée le Vendredi soir au restaurant Le Kitchen de Clermont-Ferrand) J’ai également appréciée l’ambiance bon-vivants des membres du VCMP.


Attif KHATTARI (VCMP, G2)

Quelques jours après l’arrivée qu’est-ce qui t’aura le plus marqué ? J’ai découvert l’hospitalité Auvergnate, mais je ne peux pas en dire autant de la topographie de la région, en faisant abstraction de la météo… Bon, le point positif c’est que nous avons une marge de progression. A condition que Philippe (DELMAS) ne nous plombe pas le moral avec ses 30 Km de montée à 8% et Sylvain (OLLIER) avec ses 12% du Pas de Peyrol, sans parler des terribles montées vers Salers !

Pendant la course quels furent les moments les plus forts ? Au niveau sportif ce fût une très belle expérience avec une première étape de près de 180 Km pour 2700 mètres de dénivelé positif et le lendemain 1800 m sur à peine 75 km*. A comparer avec nos 1100 m max sur 110-120 km de la vallée de Chevreuse ! *Attif, comme deux autres membres du VCMP, dû déposer les armes au ravito de Trizac (15) pour cause d’une météorologie particulièrement difficile (pluie, vent, froid)

En dehors de ces deux étapes, que retiens-tu de ce week-end ? Pour ma part, je garde un très bon souvenir de notre séjour où la convivialité, l’atmosphère amicale, les grands instants de rire et de solitude ont été les moments forts de ce périple. Sinon, le fromage fut parfait (acheté par la Maman de Philippe DELMAS) et l’entrecôte de Salers top (dégustée au restaurant d’Aurillac). Mais depuis mon retour, même dans mon sommeil, j’entends le son des cloches des vaches !


Thierry LABROUSSE (VCMP, G1)

Quelques jours après l’arrivée qu’est-ce qui t’aura le plus marqué ? A titre personnel d’avoir réussi à surmonter mon envie de bâcher (abandonner) le deuxième jour avec cette pluie et ce froid. On était alors à Trizac dans le Cantal, lieu du premier ravito de la journée. Sinon, le deuxième tiers de chaque étape me fut particulièrement difficile et je n’arrive pas à comprendre pourquoi.

Pendant la course quels furent les moments les plus forts ? Le moment le plus déconnant (sic) fut la partie de manivelles dans les faux plats descendants qui ont suivi la descente du Pas de Peyrol, au pied du Puy Mary (les deux Frédéric lancèrent les hostilités en sprintant à bloc à chaque apparition de panneau de village, ce après plus de 150 km de course). Les instants les plus « piquants » furent sur le premier jour la côte de Saint-Simon qui menait sur la Route des Crêtes pour ensuite descendre sur Aurillac (passages à 12%) et sur le deuxième jour la côte qui surplombait le château de Tournemire dans le Cantal. Pour les images ce sont ces paysages à la nature sauvage et ces points de vue sur les vallées, entre les nuages de brume. Mais aussi les châteaux de Tournemire (15) et de Murol (63). Je n’oublierai pas la qualité de l’organisation ainsi que la gentillesse et la bonne humeur des bénévoles. Quant aux grosses motos de l’organisation, elles m’ont fait envie : j’ai le permis !

En dehors de ces deux étapes, que retiens-tu de ce week-end ? Avoir appris que Clermont-Ferrand n’est pas une ville sale, au sens tristounet, mais que certains de ses monuments ont été bâtis à base de pierres de lave. Je sais c’est bête mais cela remonte à mon enfance, lors du seul séjour passé ici. Egalement, toujours le plaisir de se retrouver entre copains, loin des soucis du quotidien, dans une ambiance d’entraide et de camaraderie. Cela fait scouts mais bon c’est comme la confiture : on y remet les doigts avec plaisir !


Frédéric MONTI (ex-VCMP, G1)

Quelques jours après l’arrivée, quel résumé ferais-tu de ton séjour cyclo sur le CAC ? Commençons par le début. Il est 17h00 ce vendredi 21 Juin 2013, veille du CAC. Cela fait trois heures que j’ai quitté mon Ardèche et m’en vais retrouver mes anciens copains du VCMP chez « Chanturgue ». Lui, c’est le cycliste chanteur que j’ai eu la joie de rencontrer l’année dernière dans la traversée des Pyrénées : Philippe DELMAS of course ! Je retrouve donc tout le monde sur Clermont-Ferrand avec grand plaisir. En plus il y a le « Kéké* », que je n’avais pas revu depuis mon départ d’Ile-de-France, soit près de trois ans de cela. Zut, premier pépin : mon vélo est crevé au moment du déchargement des affaires ! Ce n’est pas grave et vite réparé. Nous nous rendons ensuite au retrait des dossards et, comme d’hab’, Chanturgue discute avec tout le monde. Tant et si bien qu’il recrute un autre cycliste pour rouler avec nous. Ce sera notre Philippe de Limoges. Après un bon petit repas dans un restaurant Auvergnat, où j’ai fait la connaissance d’Éric, il est temps d’aller au lit. Je suis avec le grand Fred dans la chambre. On a nos petites habitudes tous les deux : longs moments de préparation des tenues du lendemain, discussion sans fin, etc. Après une bonne nuit de sommeil, il est temps de partir. Il fait doux. J’hésite encore : je prends mon Goretex ou pas ? Finalement je décide de le prendre. On ne sait jamais. Tout au long de cette première étape, on découvre l’Auvergne commentée par Sylvain. Petit à petit on monte. Petit à petit il fait plus froid et plus humide. Au premier ravitaillement il ne fait plus que 8°C. J’ai bien fait de prendre mon Goretex et vais le mettre souvent à partir de là. C’est d’ailleurs grâce à lui que je vais boucler cette épreuve. Que l’Auvergne est belle avec ses vallées, ses rivières, ses châteaux, ses vaches de race Salers et ses paysages de montagne ! Après le deuxième ravitaillement nous attaquons le Puy Mary. Là, je me rends compte que j’ai mal géré le repas. Je roule à deux à l’heure sur les deux derniers kilomètres de cette montée. Trop de fromage Cantal et de saucisson à digérer ! Puis c’est la descente sur Aurillac avec un dernier petit col à passer qui en fait râler plus d’un. Mais le lendemain le retour sera encore plus éprouvant ! La première partie est difficile de par la météo et le dénivelé. Dès le premier ravitaillement notre groupe perd trois éléments : Attif, Eric et Fred. Finalement, nous repartons juste avant les cyclo-sportifs qui ne vont pas tardés à nous doubler. Douche après douche, nous finissons par nous approcher de Clermont-Ferrand. Mais que de bosses sur la fin ! On pensait que chacune était la dernière mais non : il y en avait toujours une autre derrière ! Enfin l’arrivée. Nous sommes très heureux de nous retrouver pour partager nos impressions et un dernier ravitaillement. Vivement que l’on se retrouve pour une autre aventure !

*Thierry LABROUSSE


Sylvain OLLIER (VCMP, G2)

Quelques jours après l’arrivée qu’est-ce qui t’aura le plus marqué ? Ce qui m’a agréablement surpris, à titre perso, c’est d’être allé au-delà de mon simple objectif initial qui était de rallier dans les temps l’arrivée de chaque étape : finalement il s’est avéré que physiquement je n’étais pas si entamé que ça. La preuve étant le Jour 2 où mes cannes tournaient comme des bielles bien huilées. Vraiment une bonne surprise et la confirmation que je suis avant tout un gars qui fonctionne aux challenges. N’ayant pas un physique de sportif, c’est la tronche qui me porte, qui me pousse à aller au bout du bout. Sinon, l’Auvergne reste à mes yeux un terrain de jeux fabuleux. Lors de la découverte de certains paysages mes camarades en ont entendu des superlatifs : « magnifique », « joli », « mimi », etc. A la fin, Frédéric MONTI et Philippe REY me chambraient gentiment en faisant exprès de s’extasier devant une simple pierre posée au milieu d’un champ où lors de la traversée d’un village sans âmes. Vraiment un bon esprit de groupe !

Pendant la course quels furent les moments les plus forts ? Ah ! Sans aucune doute ce que je nommerais cette « double éclate totale », sur les Jours 1 et 2, qui vit certains loulous envoyer comme des fous après plus de 120-130 bornes. Lors de la première étape, peu après le Pas de Peyrol, alors qu’on avait quand même avalé 150 bornes et plus de 2500m D+, les deux Frédéric décidèrent de lancer des sprints à l’entrée de chaque village, histoire de collectionner les pancartes. Derrière eux Philippe REY répondit du tac au tac et moi-même me suis lancé la tête dans le guidon dans cette course suicidaire. Mais il y avait une telle camaraderie où les rires se mêlaient aux douleurs des cuisses et du souffle court que ces quelques 10 kilomètres à plus de 40 à l’heure furent un moment de bonheur absolu. Quand l’un ralentissait, il y avait toujours un fou pour renvoyer. Et vlan ! ça repartait à toute berzingue ! J’en ai chopé un point de côté qui me tordait de rires. Si, si ! Au final Frédéric PONDEVIE remporta la timbale par deux pancartes à une pour Frédéric MONTI. Même exercice lors de la seconde étape quand, à l’approche du ravito n°2 de Besse (63), un des coursiers de l’ACBB, alors en chasse patates derrière le peloton des cyclo sportifs, décida de nous relayer… fortement ! Là, Frédéric MONTI et Philippe REY se calèrent dans son aspiration, à près de 50 km/h, et moi je fermais la marche. Après 2-3 bornes à ce rythme, au milieu d’un cadre bucolique dominé par le Massif du Sancy, j’ai sauté comme un vulgaire bouchon de champagne : cuit, en état d’hypoglycémie… mais heureux ! Après, il y a plein d’autres bons moments de course. Comme sur le Jour 1 dans cette montée du Col de Serre (15), à l’approche du Pas de Peyrol, où dans des pourcentages compris entre 8 et 10% je me suis trouvé aux côtés de ces deux chamois que sont Frédéric MONTI et Philippe DELMAS. J’avais l’impression de planer, d’être facile comme jamais. A tel point que tous les trois on arrivait à tailler la bavette. Un instant fort sympa. Mais juste derrière, dans la terrible montée du Pas de Peyrol, je ne pus reprendre Philippe REY. Sur les deux derniers kilomètres, à plus de 9-10%, j’étais à bloc et dans ma zone rouge vif, alors que lui sifflait en étant en zone bleue facile. Maintenant il est vrai que le Jour 2 fut terrible. Rien que sur les 40 premiers kilomètres on a avalé 1000m D+ ! Sans parler de la météo pluvieuse et venteuse et des quelques passages scabreux plus proches du cyclo-cross que du cyclo-route. Je dois une fière chandelle à Philippe REY et Frédéric MONTI pour m’avoir amené dans leurs roues sur ces raidards sans fin. Autre clin d’œil sympa d’ailleurs : dans Salers, en attendant notre gruppetto VCMP, tous les trois nous fîmes un petit tour de vélo dans le centre historique de ce village médiéval aux murs de lave et à la route pavée. Passés devant une échoppe vendant meules de fromage et charcutaille du pays, ce fut un de ces moments d’un autre temps partagé entre camarades. Un p’tit dernier pour la route, tiens : au moment où la tête de la course de la cyclo-sportive nous a rejoint, peu de temps après le premier ravito de Trizac (15), Fred MONTI s’est lancé à bloc pour se caler juste devant le leader échappé, Jean-Luc CHAVANON (un crac à en lire son palmarès de 47 victoires), ce pour le relayer pendant plus d’1,5 km. La moto les précédant lui faisait signe de s’écarter. Rien à faire : en costaud Fred appuyait comme un bœuf sur les pédales à s’en faire péter l’ventricule. Derrière, loin derrière, je m’égosillais pour le motiver à coup de « Vas-y Monti ! ». Quand Fred relâcha son violent effort, le coursier vint à sa hauteur pour le remercier de ce coup de main inattendu. Typiquement la preuve que nous étions tout simplement euphoriques et heureux d’être là. Voilà pour mes impressions sur ces deux longues étapes dentelées et en pleine nature. Le pied ! Vivement l’année prochaine pour une nouvelle « Moutain Party ». Le Grand Colombier ? Les 3 Ballons ? La Marmotte ? La Scott Mille Bosses ? Les Copains ?

En dehors de ces deux étapes, que retiens-tu de ce week-end ? Clairement, tout du moins pour ma pomme, c’est qu’il n’y a pas de règle préétablie de la performance sportive. Certes il faut s’entraîner. Rien de plus évident. Mais l’envie, la motivation, l’adrénaline, la gestion des temps forts et des temps faibles, le mental sont des éléments qui me sont ô combien primordiaux pour réussir à mêler défi et plaisir. Comme le constatèrent mes camarades, chaque veille d’étape je n’étais pas très bavard. Concentré et taiseux. Alors que sur la ligne d’arrivée finale, le Dimanche à 17h45, j’étais heureux comme un gosse. Tout simplement parce que j’avais besoin d’emmagasiner de la confiance en ne perdant pas d’influx nerveux. Ce fut la confirmation définitive que, pour moi, rien ne sert de courir avant le D-Day. Enfin, ce type de séjour sur 2-3 jours est un excellent moyen pour tisser et consolider des liens entre coéquipiers. J’aime cette ambiance potache où chacun tombe le casque. Comme qui dirait : In Vélo Veritas ;-)


Eric PAILLARD (VCMP, G2)

Quelques jours après l’arrivée qu’est-ce qui t’aura le plus marqué ? Un peu énervé d’avoir dû lâcher prise après une fin de seconde matinée très pénible (abandon au 1er ravito de l’étape 2, sous une pluie froide et continue). Néanmoins, j’en garderai un grand souvenir et le bonheur d’avoir fait une belle randonnée dans une région magnifique, l’Auvergne, avec une belle équipe. Merci les gars !

Pendant la course quels furent les moments les plus forts ? Transi de froid, trempé comme une soupe, les muscles tétanisés après une descente dans des gravillons sur une route dégoudronnée où, contrairement à mon habitude, j’avais les mains bloquées sur les freins. Un de mes pires souvenirs de rando à vélo ! Peu après j’ai été lâché dans les derniers lacets menant au ravitaillement du kilomètre 70, avec un capital lucidité proche de zéro et en réussissant l’exploit de me planter de route en lui rajoutant quelques kilomètres bien inutiles. On m’a dit 8 de plus. L’horreur ! Ne pas avoir été doublé par Attif et Fred, que j’attendais en désespoir de cause pour me ramener au ravitaillement, a achevé le peu de résistance qui me restait.

En dehors de ces deux étapes, que retiens-tu de ce week-end ? Que le vélo ne pardonne pas. 2013 aura été une année de reprise un peu trop pluvieuse pour faire les bornes nécessaires et suivre des cadors à vélo. Le plus important est d’avoir retrouvé le plaisir de rouler. Aujourd’hui, je me sens des ailes (pas encore les jambes) pour me lancer de nouveaux objectifs et attaquer des courses au long cours.


Frédéric PONDEVIE (VCMP, G2)

Quelques jours après l’arrivée qu’est-ce qui t’aura le plus marqué ? Ce fut une épreuve exigeante, avec vent de face et froid à l’aller, puis les côtes et la pluie au retour... qui confirment que cela nécessite un entraînement sérieux pour pouvoir la terminer dans de bonnes conditions. Sinon, mon arrêt à mi-parcours, au retour, car plus de plaisir ni d’envie de pédaler dans ce froid et cette humidité.

Pendant la course quels furent les moments les plus forts ? Hormis la visite du Cantal Shop à Aurillac (clin d’œil pour Philippe D.), l’arrivée au sommet du Pas de Peyrol est magnifique ! Par contre l’état de certaines routes, notamment cette descente en travaux au milieu de la boue, juste après Salers (15), le Dimanche matin, reste en mémoire tant je n’avais jamais roulé sur pareil "non-bitume" !

En dehors de ces deux étapes, que retiens-tu de ce week-end ? Comme toujours, beaucoup de convivialité au sein du VCMP. Avec des caractères différents mais complémentaires. Et les retrouvailles avec les "anciens" du VCMP sont toujours aussi agréables !


Le mot de la fin revient à notre n° 10, Philipe de Limoges (le troisième de la bande !), qui a tenu à nous adresser le message ci-après.

Philippe PARVERY (Limoges)

Mille mercis que de m’avoir accepté dans votre groupe pour ce CAC 2013 que je ne me voyais pas accomplir seul. Bonne humeur, convivialité, rigolades, galères aussi quand la pluie et le froid se sont invités. Merci à Philippe DELMAS pour sa gentillesse (et son Goretex !), ses bons mots pour faire face à nos bons maux et ses chansons aussi qui ont accompagné nos pédalées. A Sylvain, notre Jean Paul Ollivier, qui connait le coin comme sa poche et nous a invité à lever la tête pour admirer les beaux châteaux, les belles pierres et nous narrer les belles histoires cantaliennes d’antan. A Frédéric, notre journaliste patenté du Cycle, pour son courage et sa panne de cuisses. Et puis ces pensées obscures que l’on rumine et que l’on met en purée à coups rageurs de pédales. Merci aussi à Attif, Thierry, Fred M., Philippe R., Vincent et Eric avec qui nous avons parlé de tout, de la vie en général et du vélo en particulier. Bref, nous nous sommes régalés à pédaler ensemble et ces petites accélérations, des uns et des autres, furent comme autant de cadeaux faits à notre forme. Vite que l’on se retrouve pour d’autres aventures car les amis du vélo sont aussi les amis de la vie !

Passionnément Vélo.


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